Publié le 21 juillet 2023

Le saviez-vous ? Votre trajet domicile-travail peut peser jusqu’à 25% de vos émissions de CO2. Votre lieu de vie a donc un impact considérable sur votre empreinte carbone. Habiter dans un environnement vert ne suffit pas à rendre votre mode de vie écolo.

Et s’il était tout à fait possible d’avoir un mode de vie urbain dans un cadre sain, propice à l’épanouissement de la nature et de l’humain ? C’est ce que propose Moka, notamment à travers un plan d’aménagement territorial durable de la ville. Éco-construction, mixité d’usages, création et préservation d’espaces verts… on vous explique tout.

« La notion d’aménagement territorial fait référence à la planification et à la gestion de l’utilisation des terres dans une région donnée. Il s’agit de prendre en compte les besoins et les aspirations des communautés locales tout en préservant les ressources naturelles et l’environnement. L’aménagement territorial est crucial dans le développement d’une ville car il détermine la façon dont les espaces sont utilisés et organisés », explique Anielle Carver. 

À Moka, l’équipe d’experts chargée d’aménager le territoire afin d’assurer un environnement équilibré et harmonieux, se concentre sur trois aspects principaux : l’éco-construction, la mixité d’usages et la création et préservation d’espaces verts. Cette vision est en perpétuelle évolution afin de répondre le mieux possible aux besoins changeants des habitants et usagers de Moka. Les avancées technologiques et les nouvelles pratiques en matière de durabilité sont également prises en compte.

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1. L’éco-construction

La Smart City de Moka souhaite réduire l’impact environnemental de ses nouveaux bâtiments en favorisant l’éco-construction. Il s’agit, entre autres, d’utiliser des matériaux durables et de privilégier l’efficacité énergétique en intégrant des sources d’énergie renouvelable et en promouvant une gestion responsable des ressources et des déchets. La ville a déjà entamé cette transition, notamment à travers le respect de normes internationales strictes qui conduisent à l’obtention de certifications reconnues à travers le monde. 

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2. La mixité d’usages

La mixité d’usages consiste à intégrer différents types d’activités – résidentielles, commerciales, loisirs, services – au sein d’un même quartier ou d’un même projet urbain. « C’est un aspect d’ores et déjà très présent à Moka où la mixité d’usages se traduit par la coexistence harmonieuse de divers usages permettant aux résidents d’avoir un accès pratique aux services et aux loisirs à proximité de leur domicile », partage Anielle. Dans le futur, Moka verra l’apparition de nouveaux services qui seront connectés entre eux par un accès piéton nommé « La Promenade ». 

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3. La création et préservation d’espaces verts

Les espaces verts sont essentiels à la qualité de vie et à la santé des habitants, c’est pourquoi ceux déjà existants doivent être respectés et protégés alors que d’autres, propices à la détente, aux activités en plein air et à la connexion avec la nature, ont été aménagés. Moka continuera à mettre l’emphase sur la création et à la préservation d’espaces verts en intégrant davantage de zones vertes dans le développement urbain, en promouvant les espèces endémiques et en protégeant les écosystèmes naturels. 

LEED for Neighborhood Development

Afin de continuer à concevoir et construire Moka de façon consciente et durable, la ville s’appuie sur la certification LEED for Neighborhood Development. Cette dernière guide l’aménagement territorial du quartier de Telfair en fournissant des critères et des normes strictes. Ainsi, Moka s’engage à développer un environnement qui répond aux besoins présents et futurs de sa communauté, tout en préservant les ressources naturelles et en promouvant une vie urbaine équilibrée et attrayante. 

« Un aménagement territorial durable a un impact positif sur la vie des habitants. Cela se traduit par une meilleure qualité de vie, des espaces verts accessibles, des infrastructures adaptées, une mobilité facilitée, une mixité d’usages et une réduction de l’empreinte carbone de ces derniers », conclut Anielle. 

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